mardi, juin 12, 2007

Passage de sel à Sucre

Nous prenons notre premier bus bolivien pour rejoindre SUCRE, la capitale, en huit heures de trajet nous a-t-on dit. Il en faudra douze.

Dans la demi-heure qui suit notre départ, le bus s’arrête. Un pneu crevé. Qu’on remplace par une roue de secours… déjà trouée.



Changement de roue. Quelle parfaite roue de secours !


Ca tiendra vingt minutes. Donc rebelote, tout le monde descend. Et deuxième changement de roue.

Changement de….


Moins d’une heure plus tard, re-rebelote : on re-redescend du bus pour re-rechanger de roue… « Euuuh… y’a plus de roue de secours chef, on n’en a emmené que deux ! »
Mais la chance est avec nous. Le bus repose sur quatre roues à l’arrière. Il n’y a qu’à en en prendre une là, bien sûr !


Ch…



Nous avons compris qu il ne faudra pas compter sur des correspondances pour voyager dans ce pays.

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