dimanche, décembre 31, 2006

vendredi, décembre 22, 2006

Nous sommes arrives en Thailande

Apres un passage de frontiere encore plus rapide : 10 minutes de file pour quitter le Laos, deux minutes pour remplir un formulaire cote thailandais (pas de photos, pas de sous sous a payer) nous avons eu la joie de prendre le train de nuit ... sans couchettes.
Arrives en plein Bangkok ce matin, nous prenons le large des demain pour profiter de la nature du cote de Kanchanaburi quelques jours avant de prendre l'avion pour l'Inde le 27 decembre.

jeudi, décembre 21, 2006

Laos... bilan

Nos impressions en vrac en quittant le Laos apres trois semaines sur place.


Au Laos, il y a beaucoup plus de touristes occidentaux que dans le sud ouest de la Chine. Un petit choc.

Et pourtant, une fois arrives en Thailande, nous nous dirons qu'au Laos il n'y a pas tant de touristes que ca...

Le Laos nous a paru plaisant mais pas non plus 'super génial'. C'est vrai qu'à force de voir des belles choses, on manque peut-être de recul et on devient un peu difficiles....
Faut être honnêtes, y a plein de belles choses, les gens sont relax, très très souriants, sympas, les moines boudhistes sont partout et les jeunes - moines ou novices- cherchent très souvent le dialogue.
Mais les déplacements sont crevants et ça nous a probablement incités à voir moins d'endroits.....Nous n'aurons ainsi parcouru qu'une partie du nord du pays.
Ce qui nous donne peut-être ce gout de trop peu.


Luang Prabang compte 26.000 habitants, dont 2.000 moines.
Cela peut donner une idee de la dimension religieuse du pays.

Au Laos, on pourrait dire que rien ne bouge... et nous non plus.

La derniere semaine de notre sejour, nous l'avons passee un peu coincés à Vientiane (capitale de 200.000 habitants... ca change des megalopoles chinoises !) dans l'attente de nos Visas indiens. Nous avons vu passer les journées à une vitesse fulgurante et ne faisions jamais le quart de la moitié de ce que nous avions prévu ... On en arrive a croire que le rythme laotien nous a contamines... Mais serieusement, on ne s'en plaint pas.
Une semaine, bien installes dans une guesthouse ou l'on se sent chez soi, ou l'on devient pote avec le perroquet de la maison, ca nous fait un bien fou apres pres de trois mois de deplacements reguliers.
***
Pour ce qui est de la decouverte de la nature, notre seule expérience à ce jour est a la fois heureuse et un peu décevante. Nous sommes partis en "trek" de deux jours dans un parc national au nord (du cote de Luang Nam Tha) et n'avons pas vu d'animaux alors que la faune laotienne semble des plus intéressantes. Les paysages lors du trek nous ont aussi laisses sur notre faim.... Presque toujours dans la forêt, quasi aucun point de vue sur le lointain, nous avons été quelque peu déçus de cet aspect de la balade.

Cependant, le gros highlight de cette randonnee c'est le passage dans un village d'une des ethnies laotiennes. La, tout simplement, nous nous promenons dans le village, en observons le mode de fonctionnement, rencontrons le Chef du Village, dormons sur place. Ca, bien sur, c'est organisé. Dans ce parc national ou nous nous sommes rendus, pas possible d'aller sans guide : c'est tout simplement interdit. Donc, il faut faire appel à un organisme d'écotourisme pour cela. Ca semble fait de manière très responsable. Groupes limités, concertation avec les villages visités, répartition transparente des bénéfices. Le Laos marque un très bon point de ce côté là. Il semble qu'il y ait un véritable respect pour les différentes ethnies et leurs modes de vie. Partout on insiste sur ce respect, on demande aux touristes de ne pas faire de cadeaux aux enfants pour qu'ils n'apprennent pas à mendier, de veiller a adopoter une tenue vestimentaire ne heurtant pas les esprits, ... Resultat, les gens ne sont pas " spoiled" et c'est une relation très saine qui s'établit entre les touristes de passage et les villageois. Très authentique.

Globalement, c'est tout le pays qui n'est pas "spoiled" et si le Laos réussit son pari d'un peu "guider" ou "éduquer" son touriste, le pays restera probablement encore agréable et vrai longtemps.

***

Sur la fin de notre periple laotien, la capitale avait pris des allures surrealistes, pour nous Belges. On croisait regulierement le Pere Noel sur le trottoir, en dessous de cocotiers! A vrai dire, il etait difficile sous cette chaleur de se sentir a l'approche de la nouvelle annee.

mardi, décembre 19, 2006

Aujourd'hui...

... Force Rouge et Force Bleue ont fait de la mobylette...


dimanche, décembre 17, 2006

Laos : Vientiane

"Les dernieres nouvelles du Laos pour bientot. En attendant, quelques photos !"

mardi, décembre 12, 2006

dimanche, décembre 10, 2006

mercredi, décembre 06, 2006

mardi, décembre 05, 2006

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ... ou... la Chine au net!

Dans le pays où google fonctionne étrangement moins bien au « X »ème anniversaire de Tienanmen, où les journaux ne relaient que les bonnes nouvelles et où l’image fait place à un écran noir lorsqu’un reportage sur le Tibet passe sur TV5, le développement des blogs n’est pas favorisé... d'où nos petites difficultés à vous tenir au courant...

Voilà une excuse qui vient bien à point. C'est promis, à l’abri des restrictions imposées par la Chine en matière d'Internet, on essaie dorénavant de donner des nouvelles plus régulièrement... si on ne se fait pas rattraper par le rythme laotien!

lundi, décembre 04, 2006

Parcours


Cliquez sur la carte pour un apercu des principales etapes de notre parcours.

dimanche, décembre 03, 2006

Passage de frontière

La moyenne s'améliore en un instant. Des 5 à 6 heures que les passages Russie-Mongolie et Mongolie-Chine nous ont pris, on descend à environ 10 minutes de chaque côte.

Les Chinois nous laissent quitter leur pays sans souci et les Laotiens nous accueillent d'un énorme sourire et d'un ''I keep you one month" en nous tendant nos passeports fraîchement tamponnés de leur visa.

Bêtes de foire et rencontres

Une constante de notre séjour en Chine fut l'intérêt porte par les Chinois envers les "longs nez", comme ils disent.

Habituellement, cet intérêt est accompagné d'une certaine timidité ou retenue, les Chinois essayant discrètement de prendre une photo des êtres étranges et malhabiles de la baguette que nous sommes, en feignant de prendre le paysage ou le bâtiment derrière.

Le jeu consiste alors à changer de place de façon incessante afin d'obliger le photographe à se repositionner -pense-t-il- discrètement. En face d'une mafia plus organisée (=typiquement le père feignant de prendre son enfant en photo), la technique consiste à amener le prétendu sujet à nous suivre au fur et à mesure des déplacements.

D'autres Chinois se sont montrés moins timides, tel ce chauffeur de taxi allongeant son nez en montrant celui d'Olivier... Ce à quoi Olivier a repondu en écrasant (gentiment bien sûr) le sien. Tout cela se fait dans la bonne humeur.

Un autre modèle de chinois moins timide est celui qui vient avec un grand sourire demander s'il peut poser avec vous ou qui, profitant de l'"autorisation" donnée à un de ses compatriotes, pointe illico son zoom sur vous. Illustration aux rizières de Yuanyang...

Si la chose est juste marrante la plupart du temps, elle peut egalement se reveler source de rencontres. Ainsi, l'interet que nous suscitons nous a valu de passer une derniere soiree dans le pays invites par des Chinois.

Ils ne parlent pas un mot d'anglais et nous ne parlons toujours pas courrament chinois... Avec un peu de bonne volonte et si on est bon au pictionnary, on s'en tire !

samedi, décembre 02, 2006

Chine : bilan linguistique

Après six semaines en Chine voici l'état de notre chinois (translitération très approximative) :

Ni Hao : bonjour
Tsé tsé : merci
Mifân : riz
Châ : thé
Kafé : café
Tofu : tofu
Meyou : Il n'y a pas/il n'y a plus (usage très fréquent)
Hao : bien
Bou hao : pas bien
Fandian : hôtel
Kampeï : santé !
Mingtien : demain
Laowaï : étranger
Bélîsseeur : Belgique
Beï : nord
Nan : sud
Lou : rue


1-10 : on sait compter de 1 à 10 sur nos doigts (sérieusement, il y a des signes particuliers utilisés en Chine pour compter avec une seule main jusque 9 -et deux mains pour le chiffre 10-)
1-999 : relativement théoriquement et relativement pratiquement on est capable de compter de 1 à 999

Youssèrhowmeutch : réponse habituelle du Chinois à notre phrase "it's too expensive !!!"

Trois jours de bus

Après trois semaines de super fun avec Annie et Nicolas, l'heure est arrivée où nos routes se séparent. Ils partent au Vietnam et nous nous dirigeons vers le Laos.

Il leur faudra 5 heures et 5 minibus pour arriver à la frontière.

Nous prendrons 3 jours et 3 bus pour arriver à "notre "frontière.

Route crevante mais paysages époustouflants. On pensait avoir eu notre compte de rizières en terrasses... On peut presque dire que nous n'avions encore rien vu.

vendredi, décembre 01, 2006

Quand le Lonely Planet n'est pas passé par là


De retour des gorges du Saut du Tigre, nous passons deux journées à ne rien faire avec Annie et Nicolas avant de nous embarquer dans un bus couchette crado (dans lequel nous dormons tous bien) et d'arriver à Yuanyang.
Ici, pas vraiment d'office du tourisme, certainement personne ne parlant anglais.

Nos balades dans cette petite ville nous confirmerons que le touriste occidental y est encore bien rare et est donc une sacrée bête curieuse.

Yuanyang encore peu courue et pourtant méritant le voyage.

Les femmes y sont presque toutes en superbes vêtements traditionnels.

Au marché des tissus, elles s'affairent à choisir rubans et fils à broder de couleurs vives.

La région offre des panoramas sur rizières en terrasse à couper le souffle.
Mais pourquoi si peu de touristes ? La réponse est simple : le Lonely Planet n'en parle pas...
Le guide du Routard est par contre passé par là.
Les seuls occidentaux rencontrés sur place soit étaient français soit avaient rencontré des voyageurs français qui leur avaient conseillé le déplacement.

Nous, nous remercions Annabelle qui y était passée peu de temps avant nous et qui a eu l'excellente idée de nous recopier les quelques pages du Routard sur Yuanyang.

vendredi, novembre 24, 2006

Lijiang et Gorges du Saut du Tigre

Apres deux jours separes d'Annie et Nicolas, ceux-ci viennent joyeusement nous retrouver a l'aube dans notre charmant hotel de Lijiang.



Nous avons dormi au frais dans notre chambre non chauffee, ils ont passe une nuit de reve dans un superbe bus couchette !

Tous en forme nous partons pour une petite balade matinale au Parc du Dragon Noir avant de decider de partir le soir meme aux Gorges du Saut du Tigre pour une randonnee de quatre jours.

C est de la randonne de grand luxe.... tout le parcours est jalonne de guesthouses a prix plus qu'abordable et aux cuisiniers bien appliques.


Une des nombreuses "cartes" de la randonnee ...


Olivier s'exerce a la technique de l'ours qui grimpe l'arbre ...

En bref, on sue la journee et on est bien recompenses chaque soir ... et chaque matin. Quelle lumiere !




mercredi, novembre 15, 2006

Yangshuo (11 au 14 novembre 2006) : la campagne, enfin !

Après 26 heures de train qui filent sans s'en apercevoir grâce à la rencontre d'Annie et Nicolas (Québec), le marchandage excellentissime de Nicolas pour nos chambres d'hôtel dans la ville de Guilin, nous arrivons en bus à Yangshuo.

Re-marchandage excellent de Nicolas (pour nos chambres, nos vélos et même le prix du service de lavage du linge) et nous voilà basés pour 3 jours à Yangshuo d'où nous explorons les environs à vélo.

Waw, là nous respirons enfin.

On ne fait que se balader dans les champs, rizières, mini-villages. Les paysages sont superbes et nous trouvons nos petites habitudes en allant presque toujours manger au même endroit.
C'est tellement "l'fun" (à dire avec un accent québequois) à nous quatre qu'alors que nous quittons la ville avant Annie et Nicolas, il est prévu qu'on se retrouve dans quelques jours pour la suite des aventures...

vendredi, novembre 10, 2006

Shanghai (7 au 9 novembre 2006)

16.000.000 d'habitants, c'est reparti pour un tour dans une grooooosse ville.

On s'y sent bien tout de suite, on pense à New-York, à l'atomium et on se sent toujours en Chine.

Shanghai est vraiment très différente des villes traversées jusqu'ici, sûrement la plus européenne et pourtant résolument chinoise.

A deux pas des rues commerçantes bondées où les panneaux publicitaires innondent les passants de leurs lumières dès la tombée du jour, à deux pas de ces mêmes rues où l'on nous propose montres et sacs de marques tous les 10 mètres, on retrouve les gargottes où manger pour trois fois rien, les échaffaudages en bambou, les hommes qui s'endorment dans la remorque de leur vélo triporteur, ...


Des photos, peut-etre un jour ....

mardi, novembre 07, 2006

Hangzhou (1er au 6 novembre)

Accueillis par Huasheng, professeur d'unif plus jeune que nous, nous nous posons et nous reposons dans cette ville charmante. Son magnifique Lac de l'Ouest lui donne des airs de ville de villégiature. A toute heure, les passants, touristes ou locaux, y flânent tranquillement.
Dans l'un des nombreux parcs, nous assistons à des exercices de Taï- Chi, d'épée, à de la danse, du chant traditionnel ... En bref, c'est du loisir en plein air et tout le monde en profite en s'installant aux alentours pour pic-niquer.


mercredi, novembre 01, 2006

30 et 31 octobre : deux jours parmi d'autres

Tranche de vie :

TUUT TUUT TUUT
7h00, le réveil sonne.
Toute la chambrée se lève, c'est-à-dire Monsieur et Madame A & O, ambassadeurs du Tichouland et Monsieur David, ambassadeur de France et d'ailleurs en poste en Asie pour une année (pour le détail de sa mission filez sur beijingtobeirut.free.fr).

Debout , on termine de tout fourrer dans nos sacs respectifs et descend à la réception de l'hôtel faire le check out. Nous laissons nos gros sacs à la consigne et n'emportons que notre petit sac de tous les jours contenant sacs de couchage et victuailles tandis que David emporte toutes ses affaires, soit 8 kilos (admiration et respect, ça c'est voyager léger !).
Nous filons à la gare, peu en avance, pour y dégoter un bus devant nous mener au pied du Mont HUA SHAN que nous avons décidé de gravir.

Après avoir couru aux quatre coins de la gare pour chercher, en vain, notre bus, une filoute de rabatteuse nous attire vers son minibus menant à Hua Shan.

Le prix qu'elle nous annonce est plus élevé que celui qu'on nous avait indiqué à l'hôtel quand nous prenions nos renseignements ... Zut, ça sent déjà les soucis ... Il est 8h ... Notre bus, le seul de la journée, part à 8h ...!

Elle nous dit que son minibus partira à 8h00, une minute après elle annonce 8h30 et puis 9h00. On a compris, son minibus partira quand il sera plein ... Il n'y a encore personne à bord. Entre-temps, elle a aussi augmenté son tarif.

Bref. Pour nous c'en est assez. Alors que tous nos rapports avec les Chinois sont teintés d'une honnêteté agréable et reposante, cette filoute nous prend pour idiots.
Quitte à payer plus cher nous sommes prêts à prendre un taxi.
Forts de cette résolution nous nous éloignons donc et ... PAF ... Sous notre nez le bus que nous cherchions depuis le début ... aah... il démarre et part sans nous ... Il est +/- 8h10.

Comme un problème n'arrive jamais sans sa solution, il y a un autre bus, un vrai, plus confortable et au prix normal, qui partira à 9h00.

Arrivée au pied du Mont Hua Shan, achat de nos tickets (prix exorbitant par rapport au coût de la vie comme pour la plupart des musées et attractions touristiques en Chine) : nous trouvons le point de départ de la randonnée et c'est parti pour monter 1200 m en plus de 6 heures pour nous et +/- 5 heures pour David (pourtant plus chargé!) .

Le Mont Hua Shan et ses pics constituent l'une des montagnes sacrées du taoïsme.
Différents temples jalonnent le parcours mais également un tas de panneaux nous faisant améliorer notre "chinglish" ... soit la subtile influence de la langue chinoise sur les traductions anglaises. Il est clair que ces langues n'ont pas la même structure. Ainsi quand les "traductions" en anglais ne sont pas drôles, elles sont au moins poétiques voire incompréhensibles. Tout le parcours est aménagé : chemin et escaliers en pierre ou taillés dans la roche, chaînes métalliques pour se tenir aux endroits escarpés, ... Allez ça justifie un peu le prix du billet d'entrée.


Après un bon 3h 30 de marche nous arrivons crevés là où un téléphérique déverse les randonneurs moins courageux ou plus pressés.

Nous sommes au Pic Nord, et la vue récompense déjà pas mal nos efforts.
De là, encore une bonne heure et demi de marche épuisante pour rejoindre le Pic Est où nous passerons la nuit. Tous y retrouvons David et y rencontrons Bénédicte (France) et Michael (Canada). Une bonne tasse de thés et des nouilles instantanées plus tard nous nous écroulons tous dans notre dortoir non chauffé. Il est 20h30.
Le réveil sonnera à 6h30 : lever de soleil au programme pour tout le monde.


Il semble que ce matin là nous soyons tous plus en forme que le soleil. La petite déception est bien compensée par les splendides paysages que nous admirerons en rejoignant les Pic Sud (2160m) et Pic ouest avant la horde déferlant du téléphérique et les marchands de photos souvenirs équipés d'imprimantes...

Pic Sud, avant le vendeur de photos...


Ceci dit, une fois rejoint le sommet du téléphérique, nos jambes nous dictent de l'emprunter pour redescendre en 10 min. ce que nous avions peiné à gravir.
Arrivés en bas, nous prenons le bus avec David et Bénédicte pour rejoindre le village de Hua Shan et manger ensemble.
Nous les quittons finalement "à l'arrache" pour monter dans un autre bus partant directement vers Xi 'An où nous devons retourner récupérer nos sacs et prendre le train de nuit pour notre prochaine destination (Hangzhou, au Sud de Shanghai).
Arrivés à Xi'An nous avons encore 4 heures pour nous promener et manger un bout. Aah, manger en Chine : très souvent bon, toujours un rien compliqué pour commander et de plus en plus facile à manger avec des baguettes.

20h00, le train couchette quitte Xi'An , nous sommes à bord, tout va bien. Enfin, nous pensions en avoir pour 12h de trajet, on apprend que ce sera 23h.... aargh, on ne s'est toujours pas lavés depuis le mont Hua Shan.

Grâce aux quelques notions d'anglais d'un de nos compagnons de train, au guide de conversation et à une petite carte du monde, Oli parvient à converser un peu. On reçoit carte de visite et mandarines et constatons qu'au pays du ping-pong, Jean-Michel Sève n'est pas si connu que ça...
Le contact dans les trains chinois se révèle jusqu'ici toujours bien plus chaleureux que dans les trains russes... il faut bien dire que nous sommes un peu de curieux animaux ici. Nos gros sacs à dos font aussi partie du mystère qui semble nous envelopper...

samedi, octobre 28, 2006

Xi'An (26 au 29 octobre 2006)


Quelques jours à Xi'An nous permettent de faire la connaissance de David (France) qui vient de démarrer un voyage d'un an qui le mènera de Beijing à Beyrouth (beijingtobeirut.free.fr). On partage dortoir, réflexions, promenades, conseils et excursion foireuse ....






Grande Mosquee de Xi'An